Slainoc se réveilla dans des draps frais. sa nouvelle chambre chez les
phoenix. Il se souvint de l'agréable moment passé, en retrouvant ses
amis les uns après les autres, et à discuter de tout et rien. Puis les
conversations avait fatalement portées sur les attaques s'étant
produite dans plusieurs villages. La situation était très inquiètantes,
les blessés affluaient sans cesse, et certain comptaient parmis de
grands aventuriers.
Lui avait pris la décision d'aller au coeur du problème pour se rendre
compte par lui même. Il avait fixé un rendez vous dans une forêt à
l'écart de Nosville à ceux qui voudraient l'acompagner, deux heures
après le levé du soleil. A vu de nez il jugea que si quelqu'un était
allait au rendez vous, il devait attendre depuis plusieurs minutes.
tant pis, ils attendraient bien le temps d'un café.
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Son épée à la ceinture, son sac sur le dos, sa cape sur les épaules
pour se protéger de la légère pluit qui s'était mis à tomber au moment
exact de franchir le seuil de la bâtisse des Phoenix,il se dirigeait
d'un pas cadencé vers le point de rendez-vous, attentif à tous les
détails de l'environement. Dès qu'il repéré un blessé, ou un garde, il
essayait d'obtenir des renseignements. Il parvint à découvrir le lieu
de l'attaque la plus récentes, et le village qui serait probablement
attaqué par la suite, selon la pluspart des informateurs.
Il s'agissait d'un bourg moyen, du nom de Sipar, construit autour d'un
monument de métal à la base large et se terminant en pointe quelques dizaines de mètres plus
haut.Les habitants y portent des offrandes pour s'assurer chance et
bonheur.Si l'attaque avait bien lieu à cet endroit, ça risquait de ne
pas être le cas
Le village se trouvait au beau milieu d'une vallée encaissée, avec seulement deux chemin connus pour en entrer ou sortir.
Autrement dit, un endroit pratique à défendre, pour peu qu'il ai des hommes capables de se battre.
Arrivant au point de rendez vous, Slainoc entonna un chant pour ne
surprendre personne. Celà dit, il se contenta du premier couplet, et se
tu, vexé, en entendant les jurons poussé par ceux qui durent subir la
"mélodie"