[RP] La Fin d'une ère

[Nosville]
La plaine de Nosville: un lieu agréable où il fait bon vivre. Allongé sous un arbre, Aurion se repose car depuis peu, il a de plus en plus de quêtes a remplir.
Exténué, Aurion décida de rentrer a Nosville. Sur le chemin du retour, son regard s'attarda sur un homme en piteux état. En effet, cet homme n'avait que pour seul vêtement
une sorte de longue toge poussiéreuse et trouée. Mais ce qui frappa le plus Aurion, c'est que cet homme semblait avoir vieillit trop vite. Ces cheveux avaient un teint grisonnant, on visage n'était pas ridé mais montrait une profonde fatigue. Les cernes qu'il avait sous les yeux le montraient très bien...Ces yeux, des yeux pâles comme si cet homme avait perdu la vie, un regard vide, dénué d'expression. Aurion se demandait même si cet homme
n'était pas mort. Il s'approcha pour lui parler mais l'homme, pris de panique, partit le plus vite possible.

Déconcerté, Aurion rentra a Nosville et partit parler à Mimi Mentor de ce qu'il venait de se passer. Connaissant le tempérament de Aurion, cette dernière refusa de
révéler quoi que ce soit au jeune escrimeur. Résolu à enquêter lui-même, Aurion partit en direction du lieu où il avait rencontré cet étrange homme. Malheureusement pour lui, l'homme était parti. Il décida donc de rentrer a Noscamp...

Les jours se succédèrent et Aurion remarqua qu'une poignée d'hommes semblait être aussi malades que celui qu'il avait rencontré auparavant. Tous étaient dans cet état: hagards, incapables de parler et au final ces personnes se laissaient mourir de faim. Après avoir terminé sa chasse aux démons dans les galeries obscures du cachot de Shanera,
Aurion décida de mener sa propre enquête.

Sur la route qui menait a Nosville, le petit escrimeur rencontra des soldats de Lord Cuarry.
- Bonjour messieurs. Vous êtes au courant pour les étranges nouveau venus à Nosville ?
- C'est étrange que tu nous en parles, nous revenons juste du village d'Iwould, et nous y avons trouvé un homme atteint des mêmes maux. Le village semble avoir été saccagé par des brigands, répondit le Capitaine des gardes.
Aurion regarda le blessé, il avait l'air malade comme l'autre homme.
- Où sont passé les autres villageois ?
- On ne sait pas, ils ont tout simplement disparus, expliqua le capitaine
- Et vous pensez que de simples brigands puissent faire sa ? Désolé mais
cette explication ne suffit pas, regardez dans l'état où il est ! rétorqua Aurion
- Ben qui veux-tu que ce soit d'autres ?
Voyant que les soldats de Lord Cuarry ne réagissaient pas face à ses attaques, Aurion parti donc seul au village de Iwould.

[Iwould]
Iwould est un petit village, entouré de champs et de cultures. L'endroit semble abandonné quand Aurion y arrive. Il remarque que les champs sont vierges, plus rien n'a repoussé sur ces champs, les puits sont asséchés. La nature semble avoir autant souffert que les habitants. A l'intérieur des maisons, on peut voir des traces de lutte.

Tout est calme, mais trop calme: c'est un silence de mort. Si ces maisons n'étaient pas là, on pourrait croire que personne n'a vécu ici. De simples brigands ne pourraient pas
faire une chose comme cela. Quelque chose n'était pas normale et Aurion le savait. Le jeune escrimeur cherchait désespérément des indices mais il ne trouva rien.

Soudainement, une légère brume commença a apparaître, mais elle avait quelque chose...d'inquiétant. Depuis que cette brume était apparue, Aurion avait l'impression
d'être observé de partout, il sentait une présence malsaine dans les alentours. Aurion décida de quitter le village, il n'avait trouvé aucun indice mais ce qui est certain, c'est que de simples brigands ne peuvent pas faire cela. C'est quelque chose de plus mauvais, de plus malsain et ça, Aurion en était sûr...

Nombre de messages : 10 Date d'inscription : 03/11/2008

[Quelque part dans la forêt]

Un mince sourire étire les lèvres de Chimei alors qu'il passe en revue ses troupes. Au plus profond des bois, dans une perpétuelle semi-obscurité, se dresse sa forteresse. La faune et la flore a été asservie ou détruite, permettant ainsi à Chimei et son armée d'y élaborer leurs plans.
Nul n'oserait s'aventurer si profondément dans cette forêt, et même si un inconscient trop curieux arrivait à atteindre l'endroit, il n'y verrait qu'enchevêtrement d'arbres, de ronces et de buissons. Impossible de deviner que derrière tout ceci se cache la plus grande armée de tous les temps, réunissant goules, banayo, démons, hanba, et autres jiangshi. Ce n'est pas une soudaine amitié qui les unis, loin de là, mais les races de démons ont su occulter pour un temps leurs rivalités afin de mener à bien cette mission, guidés par Chimei.

C'est de cette forteresse que partent les armées pour organiser les raids contre les villages alentours. Pitoyables créatures humaines qui ne savent pas résister lorsque les troupes attaquent. Le plan est parfaitement rodé. Les hanba agissent d'abord, quelques semaines avant, mettant tout leur savoir-faire pour affamer et assoiffer les habitants. Les puits asséchés, les sols rendus aussi arides que les déserts du lointain Sud, les cultures sont rapidement détruites. Et lorsque les habitants sont faibles, privés d'eau et de nourriture, des hordes de créatures s'engouffrent dans les rues, détruisant tout sur leur passage.

La plupart des villageois sont enchainés, puis ramenés à la forteresse. Les hommes et les femmes serviront d'esclaves, leur volonté totalement annihilée par les puissants pouvoirs du Chimei. Les enfants, eux, serviront de distractions aux démons, lors des soirées un peu trop calmes. Rien de tel que quelques tortures pour occuper ses hommes.
Chimei sait bien que certains villageois échappent à la captivité, pour beaucoup, massacrés pendant l'attaque, mais ils font partie de ce qu'on appelle les dégats collatéraux. Ils n'ont aucune importance de toutes façons, ce ne sont que des pions sur l'immense échiquier du destin, qui verra bientôt Chimei roi incontesté de ces terres.
L'un de ses plus fidèles adjudant l'a informé qu'il avait vu quelques hommes s'enfuir. Ce détail a été balayé d'un geste de la main. Nul homme ne peut demeurer sain d'esprit après une telle rencontre, ils se laisseront mourir, comme les faibles qu'ils sont.

Un petit rire malsain lui échappe alors qu'il observe une troupe de goules s'amusant avec un jeune garçon. Quels êtres pitoyables... Partant d'un grand éclat de rire, il se dirige vers son bureau, endroit légèrement à l'écart du reste de son armée. Sur un tronc, une grande carte, couverte de rouge. Le but est de s'emparer de Nosville, bastion de la résistance. Et ensuite, tout ne sera qu'un jeu d'enfant.
Avec satisfaction, il suit du regard le chemin parcouru par son armée, venant des hautes montagnes du Nord. Aucun village n'a été épargné sur leur route, comme en témoigne ces noms de villages rayés d'un trait de sang sur la carte. Ils ignorent la menace, ces jeunes aventuriers de Nosville, bien trop imbus de leurs petites personnes, si fiers d'avoir vaincu des démons de bas-étage. Mais l'étau se resserre autour d'eux, bientôt plus aucun village alentours n'existera. Ils seront seuls au monde, ne pouvant compter sur aucune aide extérieure. Les détruire ne sera alors qu'une formalité...

Nombre de messages : 262 Date d'inscription : 01/07/2008

[à quelques lieues de Nosvilles]

*Aïe ma tête...*
Unix se réveilla dans une étrange forêt, allongé dans une position fort incofortable au repos, dans l'herbe humide de la rosée du matin.
Le sang ne circulait plus dans sa jambe droite, il dut rester allongé en étirant ses jambes. Cela lui permit de réfléchir posément.

Pourquoi diable s'était-il réveillé ici ?
Qu'étaient donc ces blessures profondes dans sa chair ?
Et puis d'abord on était où ?

Il ne ressentit même pas la peur, il était résolument calme, il sentait malgré lui qu'il avait échappé de peu à la mort et rien ne pourrait calmer la colère qui montait en lui.

Il étudia plus en profondeur son anatomie.
Blessures profondes coagulées, peaux mortes, cheveux grisonnants, tout ceci le fit frémir... Quelle en était la cause ?
Et que faisait ce tatouage en forme d'oiseau de feu sur son bras droit ? Il ne souvenait que de peu de choses malheureusement.

Il était enfant unique d'une paisible famille dont il ne se souvenait la localité...
Nada pour le reste.
Il savait pourtant qu'il se prénomait Unix, qu'il était droitier, qu'il connaissait et s'exprimait dans un français relativement correct que le nombre Pi était égal à 3.17 ou encore qu'il était nul en maths.

Tout ceci l'intriguait, plus il essayait de se souvenir plus cela lui faisait mal au crâne.
Tellement mal qu'il fut pris d'un vertige et qu'il tomba dans les pommes. Un mur opaque se dessina dans sa tête puis un flash violent. Son corps fut parcouru de spasmes et de tremblements.

il se réveilla, ses yeux s'exhorbitèrent, il comprit.
*u_u c'est quoi ce délire ?*

Il avait recouvré la mémoire grâce à cela... Enfin une partie.
Unix se souvint juste de l'attaque précédant son sommeil. Il ne pouvait plus lutter avec sa compagne aux oreilles pointues face aux hordes de Jiangshis. D'un commun accord, ils avaient préféré la fuite.
Une boule se serra dans son ventre, le chagrin afflua, Miaouss avait-elle survécue ?

Une rage indiscible s'empara de lui. Non, il valait mieux se calmer et réfléchir...
Marcher changerait les idées, il se campa sur ses jambes et évalua sa forme physique. Ca irait, enfin l'espérait-il...

Il avisa un panneau de ville et décida de s y rendre.
Peut-être aurait-il des indications dans la bourgade de... comment s'appelait-elle déjà ? Ah oui, NosVille.

Au plus profond du coeur de krem , dans un endroit assez reculer du village on entendait des bruits de combat qui raisonnait au loin , des fléches qui partaient de toutes parts et qui s'abattaient sur les monstres de krem. C'était un archer qui s'entrainait depuis quelque jours avec hardeur , cette archer se nommait hisoka , il avait les cheveux orange qui rapellait le soleil brulant , des mains fermes et usés à cause de son entrainement , et le visage plein de poussiéres et de coupures à cause des monstres de krem.

Au bout d'un moment le jeune archer exténuait de son entrainement décidait de se reposer et de faire une sieste . Mais quelque chose le gêner , il ne trouvait pas le sommeil car une sensation étrange l'envahissait, il ne comprenait pas se qui lui arriver . Alors il décidait de rentrer à nosville pour aller voir un médecin .

Sur la route en allant vers nosville hisoka vit des soldats de nosville qui portaient un blesser, curieux hisoka demandait aux gardes se qui lui était arriver , ils lui disaient :
-C'est un village voisin qui a dû être attaqué par des brigands. Mais c'est marrant que tu nous demande sa car nous avions déjà raconter cela à un jeune escrimeur.
-Et ce jeune escrimeur est partis seul pour le village d'Iwould ?
-Oui (affirmaient les soldats)
- oki merci pour tous ses renseignements au revoir.

Et hisoka partait toujours pour nosville mais inquiet car ces phénoménes lui parraissait bizarre : cette sensation qui l'envahissait quand il avait essayer de dormir et maintenant sa quelque chose tournait pas rond.
Alors hisoka décida de faire une halte chez les PhoeniX et de leurs faire par de ses sentiments d'inquiétudes ...

Tortionnaire Nombre de messages : 711 Date d'inscription : 13/06/2008

De longs cheveux blancs, seuls vestiges d'une vie qu'elle veut oublier, épars sur l'oreiller. Un rayon de soleil, filtré par les volets, vient caresser la joue de la mage. Repos salvateur après une nuit à pourchasser les créatures diaboliques. Douceur voluptueuse de la couette, ultime refuge, havre de paix avant de devoir reprendre la chasse aux...

Humpf !

Une masse compacte vient de lui sauter dessus, lui refusant les dernières minutes de bien-être. Refuser ? Non, pas vraiment. Les exacerber plutôt. Alena sourit à Philippa, qui rit, ravie de l'avoir réveillée, et qui se glisse sous la couette avant de se blottir contre la mage. Un bras protecteur passé autour de la taille de la petite fille et ce sourire tendre qui ne veut plus quitter son visage.
Et c'est comme ça tous les matins depuis qu'elles sont ensemble. Réunies dans une grande chambre de la maison des PhoeniX, elles profitent, tous les matins, d'un moment de tendresse avant d'affronter la journée. Aucun membre chez les PhoeniX ne peut se douter de ce lien fusionnel, et c'est très bien comme ça. Parce que cette enfant, qui s'est rendormie dans ses bras, a encore plus d'importance à ses yeux que la famille, et qu'Ed. Alors elle la protège, envers et contre tout. Elle paraît distante lorsqu'elle en parle, et prend toujours garde à ne pas montrer son attachement. Pour ne pas qu'elles souffrent, pour se protéger, pour que Philippa ne soit jamais un moyen de pression.
Et préserver la petite fille, en ne parlant jamais de sa naissance, ni de sa famille.

Un sourire attendri se dessine sur son visage alors qu'elle observe le visage apaisé de Philippa. C'est pour elle qu'Alena lutte sans répit contre les créatures. C'est grâce à elle qu'elle a la force de continuer. Sans Philippa, elle ne ferait pas partie de cette famille qu'elle aime tant, elle n'aurait pas l'audace d'éprouver des sentiments pour un homme, elle ne défendrait pas bec et ongles sa famille.

Mais il est déjà l'heure de mettre fin à cet instant de félicité. Un bisou dans le cou réveille la petite fille. Rapidement, elles se lèvent, s'habillent. Accroupie devant Philippa, la mage lui fait les recommandations d'usage :

- Je dois y aller, Philippa. Ne te...
- Ne te fais pas remarquer, ne sort pas de Nosville, ne t'approches pas des monstres, et tu es ma grand soeur, je sais.

Sourire amusé de la part d'Alena, moue faussement boudeuse de la part de la gamine. La jeune mage la prend longuement dans ses bras, avant de déposer un baiser sur le front de Philippa.

- Fais attention à toi, maman.

Alena hoche doucement la tête, incapable de parler. Elle a beau entendre ça tous les matins, elle n'arrive pas à contenir l'émotion qui lui serre le coeur à chaque fois. Dernier baiser, et elle quitte la chambre.

La maison des PhoeniX est étrangement calme. Un instant intriguée, elle n'y prête pourtant pas plus d'attention que ça. Ils sont sans doute eux aussi très occupés à lutter contre le mal qui s'étend inexorablement. Un café, un morceau de chocolat, et la voilà partie.

Elle se téléporte directement dans la chambre du chat. Nul besoin de passer par Nosville où se rassemblent les aventuriers, tous plus ambitieux les uns que les autres, ignorant pour la plupart les bases du respect et de la politesse. Et puis, Philippa aime tellement se promener au marché, acheter et vendre, qu'elle s'en voudrait de le faire à sa place.
Sortie discrète de la chambre du chat, les ennemis sont encore là, toujours aussi nombreux, comme si lutter contre eux était dérisoire. Comme si, à chaque monstre tué, un autre prenait sa place. Une bataille sans fin, qui lui semblait parfois décourageante. Mais la sensation, encore présente dans son esprit, de ce petit corps lové contre elle lui rend toute sa motivation. Philippa grandira dans un monde sûr, il le faut !

Les ennemis l'attaquent à vue, comme d'habitude, et elle, elle use toute sa magie et tout son savoir faire pour les réduire à néant. Inlassablement, elle les tue, sans pitié ni compassion.

Une soudaine sensation la fige sur place. Il se passe quelque chose avec Philippa. Elle ne risque pas sa vie, non, la sensation est trop diffuse pour que ce soit ça. Mais quelque chose lui fait peur, elle pourrait presque entendre ses appels, suppliant Alena de venir la prendre dans ses bras et la rassurer...

Nombre de messages : 60 Date d'inscription : 30/10/2008

La nuit venait de tomber sur la forêt d'érable. Ainsi, comme chaque soir, la lumière dorée du soleil qui se reflétait sur les feuilles d'or et de bronze, les piaillements des petits oiseaux qui en habitaient les branches, mais aussi l'agitation provoquée par les monstres diurnes laissaient place à une pénombre oppressante, à laquelle venait s'ajouter un silence inquiétant. Le crépuscule passé, cet endroit n'était guerre engageant, sans même parler des créatures qui attendaient ce moment pour sortir de leur tanière...

Pourtant, quelque part à l'intérieur de cette forêt, un jeune aventurier semblait avoir monté un camp, à l'abri d'une clairière. Le jeune homme avait allumé un feu, sans quoi il aurait été impossible de le repérer : il était revêtu d'une armure de cuir, couvrant la totalité de son corps, qu'il avait faite ternir afin de mieux se fondre dans la pénombre. La douce lueur issue des flammes orangées qui illuminait son visage permettait de rendre compte de son jeune âge. Malgré son air grave, on ne distinguait aucune ride. Pourtant, de temps à autre, une flamme s'élevait plus haut et laissait découvrir une longue chevelure grisonnante. Le jeune homme avait l'air distrait, ses yeux noisette semblaient contempler le vide, alors que ses mains aiguisaient machinalement une dague, avec une précision qui traduisait une certaine expérience.

Dès qu'il eu terminé d'affûter sa deuxième dague, il retira l'écuelle qu'il avait posée sur le feu, et commença à manger. Après une bouchée, il fit la grimace. La viande de lézard n'était pas fameuse... il pensait qu'en soupe avec du riz et beaucoup de sel, cela passerait, mais... il s'en souviendrai.

Son festin terminé, il ramassa son arc, qu'il avait posé contre un arbre, et entreprit d'en défaire la corde. Ce n'était pas bon de laisser un arc bandé trop longtemps, cela risquait de tendre la corde, et de plier l'arc, il le savait très bien. Après avoir retirée la corde, il commença à frotter l'arc avec une peau de mouflon huilée, l'enveloppa dans cette même peau, et le plaça dans son étui. Il retira ensuite le haut de son armure, pour placer la corde directement au contact de sa peau, avec les deux autres qui y étaient déjà.

Repus - si l'on puis dire - , ses dagues affutées et son arc défait, il disposa rapidement autour de lui quelques pièges de fortune, censés émettre un bruit sourd au cas où une créature indésirable poserait le pied dessus, étouffa le feu afin de ne pas attirer davantage l'attention, et se laissa aller sur la modeste paillasse qu'il s'était aménagée, se perdant dans ses pensées.

Il avait rarement vécu comme cela : comme un vagabond. Depuis aussi loin qu'il se souvienne, il avait toujours eu une maison, une famille : le clan Lotus. Ils l'avaient recueillit tout petit, et avaient été sa seule famille, il n'avait jamais connu ses vrais parents. En grandissant, il y avait également trouvé quelque chose de spécial, mais n'arrivait plus à se rappeler de quoi : chaque fois qu'il semblait s'en rapprocher, il était prit de pincements au coeur qui lui faisaient abandonner toute tentative. Jusque là tout allait bien, ou du moins le paraissait : des tensions se créèrent à l'intérieur même du clan, des conflits éclatèrent, et enfin, certains les quittèrent de leur propre chef. Cette déchéance prit fin lorsque le chef décida d'abandonner ses fonctions, afin de rejoindre leur clan ami : le clan Phoenix. Les Lotus restant attendirent alors de lui qu'il reprenne les rennes, mais il savait très bien que c'eut été peine perdue. Il prit alors une grande décision : brûler la fleur de lotus avant que ses derniers pétales ne s'éparpillent, et renaître de ses cendres. Ainsi convoqua-t-il les dirigeants du clan Phoenix, afin de leur proposer une annexion des ruines du clan Lotus... mais les négociation étaient en cours, rien n'était encore fait.

De plus, d'étranges rumeurs lui étaient parvenues récemment. Des rumeurs qui parlaient de cris stridents provenant du coeur de certaines forêt, la nuit, alors que celles-ci étaient habituellement silencieuses ; ou encore, on racontait que des villages éloignés avaient été entièrement ravagés, et que les traces retrouvées ne correspondaient ni à une attaque de brigands, ni à une attaque de monstres. Ainsi avait-il rassemblé quelques affaires, et était partit en direction de la forêt d'érable, autant pour s'isoler que pour mener sa petite enquête. Des brigands ou des monstres, cela ne l'aurait pas dérangé plus que ça – c'était monnaie courante dans ce monde dangereux -, mais des traces non identifiables de créatures ayant fait preuve d'une violence et d'une cruauté sans faille, cela avait le mérite d'éveiller autant sa crainte que sa curiosité. Qui plus est, il adorait le danger, et cette partie du monde avait bonne réputation.

Enfin, il chassa de son esprit ces idées noires. Sa vie était difficile, certes, mais il connaissait aussi son lot de bonheur. Il pensait en particulier à une personne : Alena. Cette jeune femme – légèrement plus âgée que lui - à la chevelure blanche et aux yeux d'onyx avait bouleversé sa vie. Il ressentait un blocage intérieur avec les femmes, que cette dernière avait balayé à l'aide de simples mots. Il ne saurait dire pourquoi, mais il n'avait aucune confiance profonde en le sexe opposé, confiance que cette femme était en train de lui inculquer. Elle était devenue sa raison de vivre, il l'aimait à en mourir. Elle... mais aussi la petite Philippa, fillette mystérieuse, et non moins malicieuse, avec qui elle semblait profondément liée : elle disait être sa grande soeur, mais un jour, un écart de la petite au gré d'une conversation l'avait amené à penser tout autre chose. La compagnie d'une enfant lui faisait le plus grand bien, surtout aussi bien élevée.

Parfaitement conscient qu'il ne maitrisait pas la télépathie, il pensa à sa bien-aimée et s'excusa mentalement de ne pouvoir être auprès d'elle et de Philippa en ce moment. Sur cette pensée, il se laissa gagner par la fatigue puis s'endormit.

Il dormait profondément, quand soudain, un bruit sourd le réveilla en sursaut. Expulsé du royaume de Morphée, il reprit rapidement ses esprits et identifia le bruit : c'était l'un des pièges... Il se leva d'un bon, sortit ses deux dagues, pris une position défensive et s'éloigna silencieusement de sa couche, scrutant l'obscurité, tous les sens aux aguets, à la recherche de ce qui avait pu déclencher le piège...

Il fut un temps un moment au notre monde n'était pas aussi paisible qu'aujourd'hui et pour cette paix nos aînés ce battirent .Venaient je vais vous conté un petit bout de l'histoire d'une guerrière telle que je la vit mes enfants .

La jeune femme avançait méfiante ,tout les sens au aguets ,traquant une créature qui rôdait d'un peu trop prés du village des dame chat . Oh qu'elle n'aimait pas cette endroit avec ces arbre ,si dense ,si haut cachant l'ennemi ; sa aurait pu être un véritable paradis sans toutes ses créatures rodant prêtent à massacrées toute personne assez folle pour les affronté . Hum folle elle devait l'être pour combattre ici s'enfonçant jour après jour toujours plus profondément . Non pas folle ,fidèle a la parole donné ,elle fessait son devoir ,qui était d'assurer un monde meilleur a la jeune génération ,mais ils étaient si peu a réussir l'épreuve des anges et l'élite encore moins nombreuse ,cette guerre étaient désespérante par sa longueur et l'investissement quelle demandait la vidant de ses force .

Sa méfiance eu raison d'être ,après avoir traversé un petit sous-bois nous rencontrèrent un autre humain dans ce lieu inospitalié . Ami ou ennemi . Ses yeux se rétrécissement ,elle murmura "banyao" ,dégaina son épée et chargea le combat fut sans merci et a l'issue incertaine ,comme toujours je l'aidait du mieux que je pouvait ,enfin l'entité fut a terre et disparu dans un volute de fumée acre et rouge .

Épuisé elle s'assit ,posa son arme ,se prenant la tête dans les main et soupira "toujours la même chose le même combat" . Je venis me coller a elle cherchant a la réconforter ,elle leva ses yeux d'un marron si banal mais tellement expressifs si on avait le cran de regarder et eu se micro sourire que je lui connaissait tant . Elle réajusta les lanières de sa tenue d'un rouge si foncé qu'on pourrait la croire noire puis rattacha ses long cheveux d'un drôle de mélange entre mèches blanche et châtaine .

Elle ramassa son épée et entreprit de la nettoyer . Cette épée mystique ,intrigante et crainte ; l'allié de toujours ; celle qui renferme son savoir ,sa puissance ,qui avait grandit et gagné en puissance avec elle ; celle qui avaient fauché tant de vie ennemi si on peu nommait sa vie .

Puis elle sortit les derniers vivre de son sac ,me donna ma part et commença a mangeait ,fesant un état des lieu et fit un constat aussi effrayant que jouissif . Les combattant devairnt se rapprocher de la faille cet endroit encore jamais atteint par aucun etre humain ,cette source de pouvoir des créatures ne devait plus être très loin ,ils étaient tellement plus puissant ici plus malin aussi ,elle devait rentrée a la maison avertir les autres .

Elle rangea c'est affaire ,se mit debout , et prit le chemin du retour en soupira ; je savait se qu'avait la guerrière ; nostalgie son clan ,ce clan si puissant mais si fragile à la fois été tombait . Alors que nous approchions des lieu ,elle s'arrêta ,regardant inquiète la fumée s'élevant d'un endroit bien connu ,sa plus grande crainte venait de se réalisé ,elle couru et la s'arrêta tombant à genoux le souffle coupé par cette vision de cauchemard .

La maison ,sa maison n'été plus parti en flamme ,ses souvenirs détruits ,piétinaient par des être sans sentiments ,sans respect pour qui ou quoi ce soit .Qu'elle créature avait eu l'audace de détruire se sanctuaire ? Et plus important encore où été t'ils ses dernier lotus mort ? Non c'été impossible ,même aussi peu qu'ils étaient ,ils ne se seraient pas laissés avoir aussi facilement ,ils avaient du réussir a fuir mais où ,comment et dans quel état ??

Elle leva les yeux désespéré ,priant le ciel de lui donne la réponse et là elle la vit cette constellation ,là sous son nez "la Phoenix" ces alliés ; toujours présent pour les moment de joies ,de folies et les combats même si parfois perdue d'avance . Oui c'était évident ,c'était la ou elle retrouverait les siens . Après tout leur alliance n'était telle pas sensé devenir quelque chose de plus ? Pleine d'espoir elle se leva ,s'enveloppa de sa lourde cape et se dirigea vers le sud-ouest la ou elle savait être l'antre des Phoenix bien caché dans cette vielle bâtisse qu'était le temple fernon ,la ou elle espérait retrouver les siens et qui sait un nouveau foyer peut être .

D'un pas vif et alerte elle avança décidait a atteindre le repaire avant le jour .Mais sur le chemin quelque chose la tracassa l'endroit était trop calme trop silencieux sa lui rappela des souvenirs ,des vieux souvenirs ,lui rappelant des batailles datant d'un autre temps . Des échos de combat furent audibles un peu plus en avant ,elle couru vers eu ,sortant son épée prête a en découdre une fois encore avec ces entités des ombres ,arrivant sur les lieu elle stoppa net lâchant un "non" tout étonné et plein d'espoir ,le combattant releva la tête et lui dit bonjour . Oh que oui ces entité allaient regretté d'avoir envahis ces terres . Un allié qu'elle pensait perdue était revenue .

Finalement ce levé de soleil était magnifique me rechargent de puissance moi petite fée que je suis . Demain serait un autre jour ,une nouvelle page de l'histoire allait s'écrire .

Un vent anormalement froid soufflait dans les champs entourant nosville. Ce vent ...D'où pouvait il bien venir? C'est la question que c'était posé le jeune escrimeur qui ressentit son souffle alors qu'il se trouvait au plus profond de l'antre des léopard légendaires du sanctuaire sacré des koarens. Il se hata vers la sortie pour savoir ce qui se passait mais deux bètes s'interposèrent. Il dégaina son sabre pour parer leurs attaques meurtrieres et tomba sous l'effet du choc pendant sa chute il vit son sabre danser dans les airs pour se planter a Dix centimetres de sa tete.Il s'en été fallu de peu mais le jeune escrimeur n'avait pas le temps de penser les betes étaient encore là...
Il se releva empoigna son sabre et trancha la tete de la premiere bete qui lui sautait dessus mais n'a pas eut le temps de voir la deuxieme qui lui donna un coup de griffe dans le dos. L'escrimeur vit du sang beaucoup de sang... mais est ce que ce sang lui appartenait?
Le vent glacial soufflait encore lorsqu'il se reveilla mais bizarrement il se sentait bien malgres ce qu'il c'etait passé mais il fut surprit d'etre encore en vie et hors de l'antre des betes...
Il se releva péniblemment à cause de la blessure dans son dos mais il remarqua qu'elle avait été soignée et bandée il empoigna son sabre et regarda autour de lui, Il était bien loin de son point de départ vu qu'il était dans un village désert. L'abscence de vie qui régnait dans ce village n'était pas ce qu'il le dérangeait le plus. Ce qui le dérangeait c'était le froid anormal qui y regnait meme le silence envirronant ne pouvait pas l'empecher de s'inquieter.
Il se decida donc d'inspecter le village et d'essayer de retrouver la personne qui l'a aidé mais il ne trouva rien ce qui le deçut profondemment. Apres cet echec il prit la route de nosville pour retourner au quartier général des phoenix mais tout a coup il se retourna, il y avait quelque chose qui bougeait dans les buissons qui se trouvaient derriere lui...

[Quelque part au plus profond de Krem..peu avant le levé du soleil]

Duanra était la , quelque part dans Krem s'entrainant avec Doggo afin de maitriser le pouvoir de l'eau et invoquer l'Esprit de Skid le Mage Bleu .. Ainsi il pourait revenir auprès de ses amis les PhoeniX mais la fatigue le gagnait...

_Maitre Doggo..s'il-vous plait laissez moi me reposer..
_Duanra..tu sais que tu dois apprendre a maîtiser le pouvoir la tornade d'eau Upgradée afin d'invoquer l'Eau .
_... oui mais cela fait 2 semains que je dors 2 heures par nuit !
_Souviens de la longue quête que tu as du relever pour arriver à ça : Les pierres sanglantes a retrouver dans les caves, les Golems a détruire , les tortionnaires ou les sorcieres : rappelle toi de ça...
_Oui mais la je n'en peux plus...
_Un sourire se dessina sur les lèvres de Doggo, Et bien trouve la force..
_... Mouai
_Et puis dépèche toi , j'ais entendu qu'il se passait des choses bizzarres è NosVille
_Comment savez-vous ça ?
_Le grand dieu toutou...Vite tes amis sont en danger .
_QOI ????
Le miracle se produisit alors , il lança la tornade et dit les paroles sacrées : il pouvait invoquer l'élément de l'eau à présent ...
Doggo et lui partirent donc en direction de krem mais quelque chose clochait ....

Assistant Nombre de messages : 21 Date d'inscription : 04/11/2008

Quelque part au plus profond du réseau de galeries qu’est le chemin souterrain, cacher parmi la faune et la flore dans un recoin sombre, une mage énigmatique dont on ne voyait à peine la silhouette.

Elle préparait ses armes pour aller améliorer ses connaissances sur la magie noire quand soudain elle fut parcouru d’un frisson , il était arrivé quelque chose à la maison des Lotus.

Elle prit le chemin du retour en tout hâte. Arrivant enfin a l’air libre, elle vit qu’il faisait déjà nuit, que pouvait il l’attendre dans cette foret dense plongé dans l’obscurité.

Sans trop y réfléchir elle poursuivit sa route en espèrent ne pas faire de mauvaises rencontres. Mais au tournant d’un arbre elle se prit les pieds dans un piège, trébucha et se releva aussi vite que possible.

Elle regarda autour d’elle quelque instant puis repris son chemin. Elle se demandait si les autres allais bien et pourquoi elle avait la sensation que quelque chose de grave allais se passé.

Elle arriva enfin a la clairière qui était caressé par les rayons de la lune, elle vit les cendres de la maison des Lotus, entreprit de fouiller les ruines pour y trouver un éventuel indice, elle constata plusieurs empruntes qui la plus part ne ressemblait pas à des humains.

Elle décida de suivre les traces de pas la plus récente en espérant trouvé un lotus ou les coupables qui on réduit la maison en cendre…

[Laboratoire secret 1F]

Après un exténuant voyage, Onilink était enfin arrivé à destination. Il décida de s'y reposer,
Mimi souhaitait que ce-dernier enquête sur la légende d'Amyl le Fou.

En effet, il y a des lustres, un homme, était allé dérober la relique des Dieux, l'Amulette d'Ancelloan, cette relique crées par les divinités donnait à celui qui la portait : la vie éternelle .
Etant poursuivit par les Anges envoyés par les habitants du royaume Céleste, Amyl, avide de pouvoir décida de s'engouffrer dans le labyrinthe des démons.
Il prononça des paroles innaudibles et fit s'ouvrir face à lui un portail reliant le monde des humains à celui de la seconde dimension (Espace Temps), seul et unique endroit où il pouvait échapper aux Anges.
Les Dieux, furieux, bannirent l'immortel et l'empêchèrent de revenir de l'autre monde.
Après avoir maudit les Dieux des centaines et des centaines de fois, Amyl réfléchit avec amerthune à une vengeance, la sienne...
Depuis que les nouveaux aventuriers avaient descellé la malédiction infligé à Amyl , il envahit le Laboratoire secret, laissant place à ses plans machiavéliques, (Note de l'auteur: MOUAHAHAHA!) , telles que des modifications génétiques infligés à des Boings, création d'être composé de son ADN (Zombie) et bien d'autres abominations...

Après avoir médité sur sa longue recherche qui l'attendrait demain, Onilink s'assoupit au côté de Teng (Note de l'auteur: Son TUFU).
Peu de temps après s'être endormi, un son strident réveilla Onilink.
L'escrimeur reprit peu à peu ses esprits, il entendit à nouveau le même son qui le figea.
Il comprit alors que Teng avait besoin d'aide, il chercha à taton dans l'obscurité son épée et il se leva, titubant.
Il prononça des paroles incompréhensibles et se tranforma en Croisé. Une lumière éblouissante jaillit alors de son armure et illumina les environs.
Onilink vit son compagnon s'écraser lourdement contre le mur humide à côté de lui.
Teng perdait énormement de sang, Onilink n'attendit pas une minute de plus, il se téléporta à Nosville en oubliant la mission dont il était chargé. Il se dirigea d'abord chez Eva pour que cette-dernière soigne son ami. Puis il se dirigea d'un pas hatif vers le centre de la ville pour y sonner l'alarme.

[Dans une forêt, proche de Nosville]

Aurion décida de s'arrêter quelques secondes. Voilà plus d'une demi heure maintenant, qu'il courait pour rejoindre le repère des PhoeniX le plus vite possible. Il voulait leur faire part de ses craintes, de ses doutes et de ce qu'il avait vu a Iwould. Ces champs vides, ces
puits asséchés, mais qui donc pouvait bien pourvoir faire sa ? Cette brume qui était apparu, après réflexion, Aurion se rendit compte que cette brume lui était “familière”, il avait l'impression de l'avoir déjà vu quelque part mais où ? Et surtout, qui utilisait cette
brume ? Et pourquoi ? Pourquoi attaquer un village aussi petit que celui-ci. C'est une cible facile, certes, mais qui ne comporte que peu de richesse.Toutes ces questions tourbillonnaient dans l'esprit de Aurion, si bien que celui-ci commençait a avoir mal a la tête.
Le jeune escrimeur s'assit contre un arbre et souffla.Mais ces question continuaient de le torturer, des questions auxquels il ne pouvait pas répondre, du moins, pas tout de suite.

Peut-être était-ce a cause de ses craintes mais Aurion avait l'impression de ne pas être seul, en effet il sentait comme une présence autour de lui. Il regarda de partout mais il ne
remarqua rien d'anormal. Peu à peu, il commença a somnoler, il entendit un craquement, comme si quelqu'un avait marché sur une branche. Il se releva et regarda dans la direction où il avait entandu le bruit.
Il vit alors ... un renard. Ce n'était qu'un vulgaire renard...ou pas.

Aurion se retourna, sortit son épée et para une flèche qui allait en direction de sa tête. Un homme arriva, une dague à la main et tenta de lui entaillé profondément la jambe. Aurion donna un puissant coup d'épée sur la dague qui s'échappa des mains de l'assaillant pour tomber à quelques mètres de lui. L'homme recula pour se réfugié dans l'obscurité de la forêt. Aurion l'entendit courir autour de lui, puis le mystérieux homme lança un assaut
de plusieurs flèches sur le jeune escrimeur. Aurion para, une, deux, trois, quatre flèches mais malheureusement pour lui, une flèche se planta dans son épaule.

Le sang coulait le long du bras du jeune escrimeur, Aurion prit donc une profonde inspiration et enleva la flèche qui s'était logée dans son épaule. Aveuglé par la haine et
la douleur, il essaya d'entendre les bruits de pas de son assaillant. Le jeune escrimeur se mit a côté de la dague, convaincu que son adversaire allait tenter de la récupérer.
En effet, l'homme sortit de l'obscurité et tira une flèche en direction du coeur à Aurion. Le jeune escrimeur dévia la flèche avec son épée et se rua vers son adversaire. L'ennemi donna un coup de pied dans la terre et envoya cette terre dans les yeux à Aurion. Ce dernier, en essayant de se défendre glissa sur le sol humide de la forêt et tomba violemment sur le sol.La douleur de son épaule s'accentua et Aurion lâcha son épée qui alla se planter a côté de la dague de son ennemi. Les deux ennemis se regardèrent pendant quelques secondes et en même temps, l'ennemi braqua son arc sur Aurion tandis que ce dernier visé la tête de son assaillant avec son arbalète.

A ce moment, un rayon de soleil transperça la forêt et vint illuminé le lieu où ils s'affrontaient. Ce rayon lumineux permis à Aurion de voir plus en détails le visage de son adversaire.
Lorsqu'il vit le visage de son ennemi, Aurion fut pris de sueur froide. Il n'en croyais pas ses yeux, bouche-bée et tremblant, pour supprimer le doute de son esprit, Aurion demanda à son adversaire:

“- Unix... C'est toi ? “

Nombre de messages : 10 Date d'inscription : 03/11/2008

[Quelque part dans une forêt profonde, au crépuscule]

Un long doigt fin et noueux parcourt la carte, s'attardant quelques instants sur les quelques villages qui se dressent encore entre Nosville et l'armée de Chimei. Un léger sourire satisfait sur le visage, Chimei s'écarte du tronc d'arbre et va s'assoir à son "bureau", simple tronc renversé suffisamment large pour qu'il puisse écrire et étaler ses cartes.

Mais ce soir, il ne consulte pas ses cartes, non, son regard se perd dans le vague. Les villages ont été rayés de la carte, et son armée pénètre dans Nosville. Tous ces misérables aventuriers qui se croient si forts tentent de lutter, mais ils sont tellement pitoyables... Ils s'éparpillent, courent dans tous les sens sans aucun cohésion, sans parler des pleutres qui se cachent. En quelques heures, ils sont tués, ou fait prisonniers. Chimei prend possession de la ville, après avoir exécuté tous les pantins qui leurs servaient de maîtres : l'alchimiste amateur, la pimbêche aux bijoux, la niaise au marché. Les deux frères qui se donnent des airs de gros durs mais qui ne valent pas un sou, le crétin avec ses drapeaux, le pseudo intellectuel qui donne des enseignements de bas-étage, et l'autre greluche qui se trémousse. Tous pendus, à l'entrée de la ville, comme un avertissement délectable. Cris. Râles d'agonie. Souffrance. Mort. Pouvoir. Un univers parfait pour forger son empire, et devenir le Roi incontesté. Nosville est devenue telle qu'il l'a souhaitée : ravagée, exsangue, et sienne. Ils viendront de partout pour lui rendre hommage, ils dresseront des statues à son effigie et se prosterneront devant...

-Je vous prie de bien vouloir m'excuser Chimei.

Son fidèle adjudant rentre dans le bureau, s'inclinant avec respect. Chimei se redresse vivement, furieux d'avoir été interrompu dans son rêve éveillé.

- Quoi ?
- Vous m'aviez demandé de venir, Chimei.
- Ah... oui...

La voix emplie de dévotion et de révérence de son adjudant le calme instantanément. Bientôt, le rêve deviendra réalité, alors il faut se concentrer sur le moment présent.

- Les Hanba se sont occupés des villages de Clearstraw, Stardow, et Oklought. Cette nuit, une troupe attaque le premier village. Demain soir, deux troupes se chargent des deux autres villages.

Hochement de tête satisfait de la part de Chimei.

- Très bien. Rien à signaler lors de la précédent attaque ?
- Non, Chimei. Il y a eu beaucoup de prisonniers, quelques morts. Il y avait un étranger, aussi. Il n'avait rien d'un villageois. Nous l'avons perdu de vue, Chimei, mais il ne sera pas épargné. Comme tous les autres, il est devenu amnésique et va bientôt se laisser mourir de faim.
- Ridicules pantins...
- Chimei, si je puis me permettre...
- Oui ?
- Nous avons énormément de prisonniers. Peut-être même un peu trop...
- La forteresse est immense.
- Je sais Chimei. Mais est-il réellement nécessaire de garder certains inutiles ?

Chimei fait quelques pas dans son bureau, réfléchissant. Ces prisonniers seront ses gens quand il sera Roi. Qu'ils soient nombreux est une chose, mais s'ils sont incapables de faire quoique ce soit...

-Tu as raison. Les vieux, les faibles et les malades, on s'en débarrasse. Que mes hommes s'amusent avec eux, ou fais-les exécuter.

L'adjudant s'incline respectueusement en lui répondant :

- A vos ordres, Chimei.
- Et amène-moi une femme.

L'adjudant lui lance un regard surpris, mais se reprend aussitôt. Ce n'est pas dans ses habitudes, mais c'est un homme après tout, et lui aussi à bien le droit de se distraire.

- A vos ordres, Chimei.

L'adjudant quitte le bureau, pour y revenir quelques minutes plus tard, une magnifique jeune femme derrière lui. Chimei observe la prisonnière des pieds à la tête, puis hoche doucement la tête.

- C'est parfait Niumei. Laisse-nous maintenant. Et qu'on ne me dérange pas.

L'adjudant s'incline révérencieusement, puis quitte le bureau. Hagarde, la villageoise reste immobile, attendant les ordres. Léger sourire satisfait, le sort de Chimei fonctionne parfaitement : ils n'ont plus aucune volonté, plus aucun bon sens, ils ne savent plus qu'obéir. Mais pour l'heure, ce n'est pas ce qu'il veut. Il murmure quelques incantations, défaisant ainsi le sort. En un éclair, la jeune femme réalise la situation. Une terreur à l'état brut se lit dans son regard alors qu'il s'approche d'elle. Qu'elle se débatte et qu'elle crie sera bien plus... intéressant...

Nombre de messages : 262 Date d'inscription : 01/07/2008

[Dans les profondeurs d'une forêt ; en direction de NosVille - Au levé du jour]

L'assassin
marchait lentement dans l'épaisse forêt. Discret, il tentait de faire
le moins de bruit possible en se mouvant dans l'ombre des feuillages.
Il n'aimait pas cela, mais après les faits étranges qui s'étaient passé
ces derniers temps, il n'était plus sûr de rien. Une brume épaisse
était tombée pendant la nuit et donnait à la forêt un sentiment de
danger qui la rendait mystérieuse et impénétrable.

Il n'était pas seul.
Unix
sentit plusieurs autres présences à quelques dizaines de mètres autour
de lui. "Encore ces monstres" pensa-t-il. Au seul souvenir de cette
attaque et de la perte peut-être funeste de sa tendre, le chagrin et la
colère l'envahirent. Il n'arrivait pas à retrouver Nosville, il se
remémora l'ancienneté du panneau, peut-être que cette ville n'existait
plus. Cette fois-ci, il était prêt à mourir, totalement découragé il se
résolut à attendre sa mort tout en exterminant le plus de créatures
possibles.

Le jeune archer s'adossa contre un arbre et sortit
ses lames de combat, il scrutait les environs ne respirant que par
intermittences. Soudain il entendit des sifflements dans l'air, mais ce
qui étonna l'aventurier c'est qu'il n'en était pas la cible.
Rapidement, il grimpa aux branches de l'arbre pour observer plus en
détails les environs.

Là ! Une silhouette bougeait à une vitesse
folle autour d'une deuxième qui semblait avoir du mal à parer les
flèches. Rassuré qu'il était par le fait que ce ne soit pas de
terribles monstres, il s'assit tranquillement sur une branche et
observa le combat.
Après tout, ce n'était pas ces affaires, il n'avait donc pas à intervenir dans ce duel.
Il jaugea en détail les deux hommes.

L'escrimeur
sembla avoir du mal à bouger, oui son handicap n'échappait guère à un
oeil avisé, il sentit son ventre se nouer. "Non je ne vais pas aller
l'aider, je ne connais rien d'eux..."
En effet, il vallait mieux rester discret, son objectif principal restait Miaouss.
En
revanche, il remarqua que le mal émanait de son adversaire, oui il ne
s'en était même pas rendu compte mais clairement, l'archer était une
mauvaise personne.

Décidé, il tomba en silence de son perchoir et s'approcha à pas de loups du champ de combat.
"Aïe"
frémit-il, l'escrimeur était tombé sur son épaule et n'avait pu cacher
sa grimace, il se préparait à bondir sur son adversaire quand une
phrase lui glaça le sang :

"- Unix... C'est toi ? "

Sans
réfléchir, il bondit en dehors de sa cachette, dans le dos de l'archer,
il donna un coup de pied violent dans sa jambe droite, au niveau de la
rotule.
Instantanément, le corps bascula en avant, Unix n'avait pas
pris le temps de vérifier si il lui avait ou non cassé la jambe, en
moins de temps qu'il n'en faut à un GM pour bannir il plaça sa main
gauche sous le menton de son adversaire et sa dague effilée sur la
veine jugulaire.

Posté derrière l'assaillant, il dévisagea le guerrier.
Non décidemment il ne se souvenait plus, même si il lui était familier...

"Nope, c'est moi l'unique Unix, comment pourrait-on me confondre avec cet archer de bas-étage ?!"
S'exprimant au captif : "Quand à toi, tu bouges d'un millimètre et je t'envois sur le territoire des ombres, c'est clair ?"

Pour toute réponse, il reçut une morsure au niveau du pouce.
Son sang ne fit qu'un tour, mais son mouvement fut net et précis. Le cadavre s'écroula à ses pieds.

Tous
ces mouvements l'avaient afaibli, tout en faisant mine de se
désintéresser de l'homme à qui il avait porté secours, il examina ses
blessures réouvertes.
Inconsciemment, il se remit à fixer l'escrimeur et sur le temps de la conversation il lui demanda :

"Bon okay, qui-es tu ? Et puis d'abord comment ça se fait que tu connaisses mon nom ? Hein ? Hein ?
... Pardon je suis un peu sur les nerfs en ce moment, puis si tu connais mon nom,
connaitrais-tu une jeune guerrière du nom de Miaouss ? C'est ma partenaire...
Ah oui et aussi, Nosville c'est par où ? Je suis complètement paumé dans cette forêt."

Conscient d'en avoir trop dit, il se tut et observa l'homme du coin de l'oeil.

[En route pour nosville]

Hisoka, en compagnie des soldats, se dirigeait vers Nosville pour faire part de ses informations aux PhoeniX, quand, tout à coup, une ombre venant du ciel vint leur cacher la lumière du soleil.

C'est un escrimeur qui a l'air bizarre, il a l'air de vouloir lutter contre une force plus grande que lui qui est entrain de le déchirer de l'intérieur, quand soudain, il vient se heurter face à la dague d'Hisoka. Sa force est telle que le jeune archer est propulsé à un mètre en arrière. Mais durant le cours instant où Hisoka était assez éloigné des soldats, l'un de se fait tuer, ce qui déclencha la fureur noire du jeune archer, car ce soldat avait certainement une femme, des enfants, une famille qui l'aimait par dessus tout.

Alors Hisoka se jette sur l'escrimeur en lui donnant de violent coup de dague, un coup touche l'escrimeur ce qui le fait saigner, mais son sang est anormal : au lieu d'être rouge il est noir. Le jeune archer, stupéfait de ce phénomène plus qu'étrange, reste immobile laissant ainsi une ouverture à l'escrimeur démoniaque.

Le sang jaillit à flot, les gardes qui sont encore en vie croient que le jeune archer est mort, mais non il a réussi à stopper l'épée de l'escrimeur grâce à sa dague. Cependant son épaule gauche a été sévèrement touchée. Hisoka tient son épaule et regarde son sang puis fait un saut en arrière, fixe l'escrimeur, les yeux dans les yeux. La tension est telle que l'on croit apercevoir derrière le jeune archer une panthère et un ours pour l'escrimeur démontrant sa force.

Puis le regard du jeune archer changer, il commence à briller, quand tous à coup il se transforme en un ranger, il a les yeux d'un faucon et un arc magnifique. Le jeune archer prend une flèche, arme son tir et la lâche en direction de l'escrimeur. La flèche part et on dirait un éclair s'abattre sur l'escrimeur.

L'escrimeur diabolique est mort, le ventre transpercé. Il s'écrase par terre quant à Hisoka, lui redevient normal et s'approche lentement du corps de l'escrimeur en train d'agoniser. Ce dernier le regarde, sourit puis meurt.

Mais qui était donc cet escrimeur ? Pourquoi lui a t-il sourit ?
Quel est ce pouvoir qui est apparu à Hisoka durant le combat ?

Rapidement, il fait un simple bandage pour soigner sa blessure, sous le regard inquiet des soldats. Intrigué, le jeune archer cherche des indices sur l'identité de l'escrimeur. Gêné par sa blessure, il fouille ses vêtements, en vain. C'est alors qu'il découvre, inscrit sur sa nuque, d'étranges écritures, d'une langue inconnue. Il décide de faire analyser cette écriture à Calvin, et en même temps, en profiter pour aller chez lui et raconter tout ce qui lui est arrivé aux PhoeniX ...

Nombre de messages : 72 Date d'inscription : 14/09/2008

[Hrp]Bon bha je m'incruste dans le rp ici, si y'a un tru qui va pas dans la façon dont je le fait j'ai grande confiance que vous saurez me dire comment rectifier le tir Wink

[/Hrp]

Je suis la flamme ardente, celle qui enflamme les cœurs, les
soumettant à sa passion ardente.

Je suis la fleur de l’eau,
délicate et impitoyable, celle qui danse et offre la mort.

Je suis la lumière éternelle, qui brille dans les ténèbres
les plus sombres.

Je suis la lame noire, froide et destructrice, incarnation
de toutes les vengeances.

Assis en tailleur, frottant machinalement l’énorme lame de
son épée, un Guerrier se tiens juste au bord d’une des crevasse parcourant le
mont Krem. Sa lame réfléchit le clair de ligne, et fait briller ses yeux
bleus-verts. Une mèche de ses longs cheveux bruns pendouille devant son visage,
échappée de la soigneuse queue de cheval qui s’étant sur son dos. Son armure
huilée et rutilante est en partie cachée par une large cape bleu sombre, dont
le fermoir représente une fleur de lotus. Son visage ne trahis aucune émotion,
ainsi que la sûreté de ses gestes démontrent que malgré sa jeunesse, le
guerrier n’est pas un débutant.

Qui suis-je vraiment ? Cela fait de nombreux mois
maintenant que je ne le sais plus. Depuis que j’ai rencontré ces quatre âmes,
elles qui avec leurs égales offrent la puissance à qui se montre digne de la
posséder. Elles qui nous permettent de luter contre les hordes de démons sans
faillir.
Mais elles qui peu à peu, m’arrachent mon identité, mes souvenirs,
mes sentiments.

Le vide devant moi est un gouffre qui fait écho au déchirement
que je ressens. Je me redresse et balaie les environs du regard. Le mont krem, montagne
aride abritant toutes sortes d’animaux étrange. Pas la peine d’imaginer une sieste
sous un des maigres arbres, Ils sont tous, absolument tous infestés d’abeilles,
et teigneuse les bestioles. Mais que dire alors des tortues qui vont, bon grès
mal grès, finissant toujours par prendre un mauvais coup d’épée, ou bien par se
noyer dans leur propre carapace. J’ai vu des mages particulièrement vicieux s’amuser
à faire ça.

Un bruit derrière lui. Une silhouette aperçue fugitivement.
Je me retourne au dernier moment… c’est sur moi. Je m’écarte, un relent fétide
parviens à mes narines, et j’entends un cri pendant que la chose chute dans la
crevasse…je cligne des yeux plusieurs fois, sans trop comprendre. Haussement d’épaules,
pour avoir finit comme ça, l’agresseur ne devait pas être très important.

Enfin, à par ça, par une belle nuit étoilée comme celle là,
c’est plutôt calme. En fait, les plus grosses nuisances ne sont pas les
animaux, car hormis une guêpe furieuse ou un ti’poids égaré, ils font leur vie
sans nous prêter attention. Non le pire, ce sont les hordes d’aventurier
ambitieux, ayant obtenu suffisamment de puissance pour être acceptés à Noscamp,
mais qui ont moins de sagesse qu’un dender.

Toujours est-il que pour une nuit calme, les Koaren
semblaient étrangement agités. Pourquoi uniquement les Koaren? Comme je m’en rendis
compte très vite, parce que tous les aventuriers avaient filés à Nosville. Il s’y passe des
choses bizarres, à dit Anna. Elle à rajouter aussi que pour beaucoup d’or elle
m’offrait un bonnet en laine de mouflon…

Ne prenant même pas la peine de répondre à cette fichue
arnaqueuse, je plie ma tente en un rien de temps, puis me présente au
téléporteur avec un grand sourire.

« Euh… j’hésite sur ma destination… un conseil mon cher ? »

Un grognement… et sans un mot le vieux ronchon m’envoie à
Nosville.

« raid poule !!! raid poule !!!! »

« ta pas 2 lor ? »

« tupeum’xpplz ?mdrmabarespacékcxDDDDDDDDDDD »

« RAID POUUUUUUUUUUU *kof kof* POUUUUULE»

« vi1 on va fer 1 fafa mie ke option »

« c koi 1 dandère ? »

*oh p***** de m***e*

Je me dépêche de disparaître au milieu de la masse des gens .Cependant,
je remarque vite qu’un truc cloche. Il manque une centaine d’aventurier
débutant, et on voit des gardes transporter des gens un peu partout. En
poursuivant mon chemin, serrement au cœur en passant devant l’endroit ou se
tenait notre grande maison. J’ai été mis au courant, je ne suis pas surpris. Mais
malgré tout…

Je me dirige vers l’endroit qu’on m’a indiqué. Chez les Phoenix,
nos amis depuis… on ne sait plus quand. Je rentre dans la grande bâtisse, et
visite. Je remarque quelques affaires que je reconnais aisément. Ça traînait n’
importe où chez les lotus, maintenant ça fou le bordel chez les piafs…il fait
plaisir de voir que certaines choses ne changent pas.

Je ressors, et m’installe devant la porte, j’attends de
retrouver un visage familier.

Tortionnaire Nombre de messages : 711 Date d'inscription : 13/06/2008

Les ennemis profitent de l'inattention d'Alena pour l'attaquer, et ils manquent de justesse de la blesser gravement. Rapidement, elle se réfugie à la chambre du chat, suivie par son fidèle tufu. Elle doit rejoindre Philippa, et comprendre ce qu'il se passe. La sensation que la fillette est terrifiée se fait plus forte à chaque minute qui passe. La lutte contre les créatures démoniaques attendra.

Un soin rapide, pour que la petite fille ne voie pas sa mère blessée, et elle se téléporte à Nosville. En un éclair, elle réalise qu'il se passe quelque chose d'inhabituel. Les visages sont graves, les regards inquiets, les démarches pressées. Près du marché, de nombreuses personnes sont rassemblées. Angoissée, la mage cherche du regard Philippa, elle est plus importante que la curiosité des badauds de Nosville... à moins que tout ne soit lié. La gamine est réfugiée près de la maison de l'alchimiste, et observe l'agitation, tétanisée par la peur. Alena se précipite vers elle et la prend dans ses bras. D'une voix douce, elle la rassure, et tente de découvrir ce qu'il se passe en interrogeant Philippa. Mais ses paroles sont désordonnées, et ses propos n'ont aucun sens. D'un geste tendre, elle caresse les cheveux de la petite fille, qui s'est agrippée autour de son cou et ne semble pas vouloir redescendre.
La mage se dirige alors vers le regroupement, et assiste, atterrée, à la tentative de Calvin pour sauver un inconnu. Cheveux gris, regard hargard, il se balance doucement d'avant en arrière, semblant ignorer la foule. Soudain pris de convulsions, l'homme s'effondre au sol, et reste inanimé, malgré les soins prodigués par les mages présents. C'est un mal inconnu d'Alena qui l'a frappé, et une parole murmurée par un des badauds attise son angoisse. Encore un... Combien sont-ils dans ce cas ? Que lui est-il arrivé ?
En interrogeant les personnes présentes, elle apprend que depuis quelques jours, des inconnus arrivent à Nosville, tous dans le même état que l'homme. Au début, ils passaient inaperçus. Puis, on a commencé à trouver les premiers corps, et leur nombre est allé en augmentant. Mais personne n'arrive à les questionner, ils restent muets, hagards, cloitrés dans un silence oppressant. Leur mort reste un mystère pour les plus grands mages. Malcom, Mimi, Calvin, tous leurs guides semblent être impuissants à expliquer la situation. Certains parlent d'attaques de brigands, d'autres du retour des dryades. Les uns parlent d'esclaves de démons, qui se seraient échappés, d'autres émettent l'hypothèse que ce sont des villageois des alentours. Personne ne sait rien, et tous y vont de leurs commentaires. Léger soupir de la part d'Alena, ce n'est pas ici qu'elle en apprendra plus.

Vivement, elle s'éloigne de la foule, et regagne l'immense demeure des PhoeniX. Philippa y sera en sécurité, et il y aura bien quelqu'un au courant des derniers évènements.
Assis devant la porte, un escrimeur patiente. Alena sourit, soulagée de reconnaître Slainoc. Elle pose Philippa, qui s'élance à l'intérieur de la maison, et demande au guerrier :

Bonjour Slain. Tu es enfermé dehors ? Je vais faire du café, si tu en veux.
Elle s'approche lentement de la porte avant de se retourner vers lui.
Au fait, tu as remarqué l'agitation de Nosville ? Tu sais ce qu'il se passe ?

Nombre de messages : 60 Date d'inscription : 30/10/2008

La respiration haletante, il essayait de maîtriser son coeur, qui tambourinait dans sa poitrine au rythme des pulsations, l'empêchant de se concentrer pleinement. Quelques secondes à peine lui suffirent pour se calmer. Il entendit des brindilles craquer non loin de lui, accompagnées d'une respiration saccadée. A peine eu-t-il le temps de réagir qu'un bruit de course l'informait que ce qui avait déclenché le piège s'enfuyait à toutes jambes.

Maudissant silencieusement ce qui l'avait tiré de son sommeil, il sursauta lorsqu'un hurlement parvint à ses oreilles. Un hurlement humain. Un hurlement strident. Un hurlement empreint de terreur et de désespoir. Bien qu'il fut assez lointain, le message était clair : une ou plusieurs personnes étaient en danger. Sans prendre le temps de bander son arc – il faisait toujours nuit, et un arc n'était d'aucune utilité au milieu d'une forêt aussi dense -, il s'élança à toute vitesse en direction du cri.

Il courait aussi vite que sa vision, réduite par l'obscurité, le lui permettait. Il esquivait avec grâce les arbres qui se dressaient en travers de son chemin, mais n'avait cure des égratignures causées ça et là par de petites branches qui attaquaient le peu de peau qu'il avait à nu.

Au bout de quelques minutes de course, il ralentit. Il n'était plus certain de sa direction, craignant que les échos du hurlement qu'il avait entendu ne l'aient trompé. Un second cri. Cette fois, un cri d'agonie. Il n'osait pas imaginer ce qu'il pouvait se passer. Mais cela avait certainement un lien avec les mystérieuses disparitions, il devait découvrir de quoi il s'agissait.

Le second cri était beaucoup plus proche. Non : il était tout proche. Après quelques dizaines de mètres, le jeune homme arriva à l'orée d'une clairière. Il se cacha derrière un arbre, et tenta un coup d'oeil en direction de l'intérieur. Il ne put réprimer un haut-le-coeur en découvrant la scène qui se déroulait à une centaine de mètre de lui, éclairée par la faible lueur de trois torches. Là, au milieu de la clairière, se tenaient deux hommes, totalement paralysés par une terreur presque palpable. Puis son regard se posa sur le troisième homme : celui qui poussait ces cris d'agonie. Il fut dans un premier temps surpris de constater que ses pieds ne touchaient pas le sol, puis du maîtriser les relents de son estomac quand il aperçut la créature décharnée, de la taille d'un semi-homme, avec de longs et puissants bras terminés par de redoutables griffes acérées, qui maintenait l'homme en l'air avec un bras profondément enfoncé dans son ventre, en poussant d'immondes grognements. Lorsque l'homme fut enfin libéré de sa lente et douloureuse agonie, la créature le laissa retomber dans ses viscères comme une vulgaire poupée de chiffon. Le jeune homme observa attentivement la créature. Quelque chose de mauvais en dégageait, cela lui donnait des frissons, pourtant, il avait l'impression de connaître cette sensation. Après quelques secondes, trois autres silhouette se mirent en mouvement. Ces créatures étaient donc quatre, et elles avançaient lentement, au rythme de leur râle grotesque, vers les deux autres villageois paralysés par la peur, ou bien par... cette sensation.

Il en avait vu assez. Il sortit ses dagues, et tendit son esprit vers elles afin de libérer le pouvoir qu'elles renfermaient, acquis durement après de nombreux combats acharnés contre ces géants de pierre qui peuplaient l'orée de la forêt. D'un instant à l'autre, il avait disparu. L'obscurité était devenue son alliée. Il s'éloigna silencieusement de sa cachette, et s'approcha lentement des créatures. Plus il s'approchait, plus il sentait un brasier de rage, intense et brute, brûler à l'intérieur de lui. Dès qu'il arriva à portée de la première créature, il sortit un crochet, fixé à l'extrémité d'une longue et fine corde, le fit tournoyer au dessus de sa tête, et le lança dans sa direction. Le crochet s'enroula autour du cou de la créature, et le jeune homme tira un grand coup sec. La créature parcouru plusieurs mètres avant de retomber sur le dos, et à peine eu-t-elle touché le sol qu'une dague lui avait déjà profondément entaillé la gorge. Elle poussa un semblant de cri, convulsa, puis s'immobilisa. Le cri, empreint de haine et de désespoir, avait attiré l'attention des autres créatures. Le jeune homme tendit son bras d'un geste vif, et une des trois autres créature s'effondra, sans bruit, trois dagues de lancé dans la tête.

Ce qui émanait de ces créatures, quoique cela fut, semblait hatiser le feu de rage, qui grandissait à l'intérieur de lui. Il se précipita sur une des deux dernières créatures, mais ne remarqua pas la deuxième arriver sur son flanc, et le plaquer avec une force incroyable. Il avait le souffle coupé. Il avait mal, peut être une ou deux côtes brisées. La créature se tenait sur lui. Elle ne s'apprêtait pas à le frapper, mais semblait l'étudier avec attention, tandis que sa rage intérieur ne cessait de grandir. Il essayait de se débattre, mais rien à faire. La créature rapprocha ce qui lui faisait office de tête de celle du jeune homme, qui pu mesurer son degré de pestilence, puis émis un grognement qui semblait être un mot : << Sawysa. >>.

Son brasier intérieur s'emballa, puis l'envahit. Il hurla. Il avait la sensation que chaque petite parcelle de sa peau entrait en combustion, il n'y avait place plus que pour la douleur, partout dans son corps. La créature recula. Une porte s'ouvrit, au plus profond du sous-esprit du jeune homme. Quelque chose l'y attira. Soudain, il ne hurlait plus. Il ne donnait plus l'impression de se battre contre une force invisible. Il respirait, lentement. Il se releva et récupéra calmement ses deux dagues. Un sourire carnassier, sans joie étirait ses lèvres. Il regarda autour de lui, et éclata d'un grand rire à glacer le sang. Lorsque son regard se posa sur une des créatures, celle-ci sembla vaciller. C'était un regard dénué de raison. Il s'élança sur elle, le sourire aux lèvres.

Hum quelle jolie nuit . Ça m'en rappelle une autre loin très loin de notre époque dans ce temps troublé que fut ma jeunesse .

Un nuit glacial ,au fin fond des terre du nord .

En haut d’un chêne millénaire une forme recroquevillé sur elle-même drapait dans une lourde cape montait la garde . Ma guerrière . Elle subissait les assauts insatiable du vent plus pour s’isoler et ressasser les dernier événement que par sécurité personne ne connaissant le lieu de campement de son équipe . Tellement de chose c'était passée en si peu de temps ,sur elle même d'abord ,le changement était si banal qu'il fallait y regardé a deux fois pour enfin le remarquer ,à son auriculaires gauche ,sa chevalière ,ce bijou a l’usage si démodé mais qu'elle adorait ne représentait plus cette fleur de lotus si familière mais un splendide phoenix entrain de prendre son envol . Elle était devenu une piaf . Cela c'etait fit naturellement lorsqu’elle se rendit chez eux après la destruction de sa maison .

Ah Il lui fut bien long se trajet des ruines à chez les Phoenix . Elle fut tourmenté par la faim ,le froid ,la fatigue et cette peur sourde que certain manque a l'appel ,évidement elle fut attaqués plusieurs fois ,mais elle réussit toujours a sans sortir plus ou moins indemne renvoyant ces démons en enfer lieu qu'ils n'auraient jamais du quitté ,elle trouva que certain étaient bien trop fort pour Krem ce qui l'intrigua au plus haut point . Enfin elle traversa l’arche de la dryade ,et se mit a marcher a découvert ne s’inquiétant plus des monstres présent sachant que sa seule présence suffisait à les tenir a distance . Après c’être perdue un grand nombre de fois elle trouva enfin un repaire lui indiquant le chemin a suivre ,elle fut donc assez rapidement en vue de la maison .

Par pur réflexe elle se dirigea vers la porte la cuisine et tira la clochette par amusement sachant trés bien que la porte était toujours ouverte . Se fut Nonoc qui lui ouvrit en se moquant d’elle lui disant « On peut toujours compté sur toi pour arrivé à l’heure du déjeuner » ,elle lui tira la langue en le poussant pour rentrer dans la pièce ,salua les membres présents ,mais s’étonnant de voir la maison si vide elle en fit la remarque a haute voix ,se fut Alena rentrant dans la pièce qui lui expliqua que beaucoup vaquaient a leur occupation à l’extérieur mais qu’ils devraient rentré dans la soirée dont les lotus qui étaient passés poser leurs paquetages . Soulagé elle s’assit a table et demanda tout sourire « on mange ?» .

Lors du repas elle demanda les dernières nouvelles Bruce lui apprit que tout le monde étaient déjà tous arrivaient et s’occupaient à gauche à droite donc comme a sa grande habitude elle été arrivait parmis les dernières ,seuls manquaient Mel et Ed mais elle ne s’inquiéta pas outre mesure leurs fessant confiance pour leurs revenir indemne ils avaient fait leurs preuve . Alena elle lui rapporta qu’ils y avaient eux d’étrange événement a Nosville ,son récit lui donna des frissions ,la description de la victime lui rappelant des vieux souvenirs mais plus elle se concentré dessus plus sa lui échappait ,s’énervant elle secoua la tête et regarda vers sa gauche la fillette qui la regardait avec curiosité . Elles se regardèrent dans le blanc des yeux un petit moment avant que Philippa ne lui sorte effrontément « on dirait un épouvantail « elle éclata de rire ainsi que toute la tablée . Une fois le fou rire passé il lui fut proposé de lui montré sa chambre pour qu'elle puisse poser ses affaires et prendre un bain ,elle accepta de bon coeur ce laver n'étant pas du luxe après une semaine a cavalé dans les montagnes mais l'idée de dormir ne l'attirait guères .

Elle fut amené à une chambre spacieuse et bien éclairé ,elle posa cape,épée et baluchon en vrac sur le lit et se rendit directement dans la salle de bain attenante a la chambre . Croisant son regard dans le miroir au dessus du lavabo elle marmonna dépité « Un épouvantail hein! Un zombie plutôt . Bon à la douche « . Après un bon et long brin de toilette ,elle mit une tunique propre ,se démêla les mille nœuds dans ses cheveux et rejoignit ses compagnons dans le salon où ils avaient émigrés . N’écoutant pas quand on lui conseilla d’allé se reposé en lui promettant de la réveillé quand tout le monde seraient rentrés ,elle s'assit malgrés sa fatigue dans un fauteuil prés du feu pour attendre le retour des autres . Mais ce grand salon avec d’antiques meubles en pin ,des couleur chaleureuse au mur ,un feu crépitant joyeusement dans une cheminé en pierre ,un fauteuil douillet ,un ventre plein ,une sensation de propre ,des voix connu discutant tranquillement eurent raison de sa ténacité et elle s'endormit morte de fatigue ,me laissant veiller sur ses arrières .

[Quelque part dans les terres reculées de nosvilles
Il y avait quelque chose qui se trouvaient dans les buissons derriere lui...
Il se retourna lentement paralysé par la peur et la douleur qui limitait encore ses capacités ,le vent semblait venir de la direction du buisson et portait une odeur pestilentielle comme celle d'un cadavre ayant pourri au fil du temps.
A premiere vue le buisson semblait vide mais seul une fouille pouvait le confirmer, Il s'approcha avec prudence tout en sortant son sabre de son foureau silencieusement et le brandissant devant lui en cas d'une attaque eventuelle.
Une fois arrivé à une distance de bras du buisson il empoigna son fourreau avec sa main gauche tout en gardant son sabre dans l'autre main puis il écarta les branches du buissons delicatemant avec son fourreau...
Ce qu'il vit depassait de loin toutes les horreurs qu'il avait pu vivre. Un cadavre ayant pourri des semaines jonchait les branches, faisant remonter un gout de bile acre dans la bouche de darkraito qui prefera ne pas rester la plus longtemps, la mort etait trop présente ici...
Il reprit donc le chemin pour nosville pour aller reporter tout ce qui c'etait passé à ses amis phoenix, mais quelque chose clochait, un cadavre ne bouge pas donc pourquoi le buisson bougeait?
Il degaina son sabre mais c'etait deja trop tard, il se fit projetter contre un arbre mais ce n'est pas cela qui allait l'arreter il reussi a se proteger avec son bras absorbant en parti le choc, il se rua sur l'ennemi seuleument celui ci se deplaçait trop vite pour qu'il puisse suivre ses mouvements ou simplement savoir ou celui ci etait, la seule solution était la fuite meme si cela ne lui plaisait pas vraiment car laisser un tel monstre se balader librement sur les terres de nosvilles.

[Entrée de krem]

Après avoir maitriser le pouvoir le de l'eau, Duanra et son maitre Doggo étaient partis en direction du village kovolts et s'en approchaient ... Soudain le le maître s'arrêta et mit son doigt sur ses levres... Soudain une meute de lion-loups apparut et les monstres sautèrent en rugissant sur le pauvre Doggo... Sans réfléchir Duanra invoqua le pouvoir de l'eau laissant la magie de Skid se déverser comme un torent en lui.. alors il lança le terrible blizzard , sort ultime de l'eau qui détrusit instantanément la moitié des monstres qui ,même décimés, se retournèrent et lui bondirent dessus , perdant son calme habituel le jeune mage lança tous les sorts qu'il connaissait mais il resta tout de même une douzaine des cinquantes monstres de départ c'est alors qu'avec la force qu'il lui restait le maître se sacrifia , le sauvant ainsi d'une mort certaine...

Duanra se réveilla dans...sa chambre posters (chambre 68 a coté de nono au 69 A) et raoh au 69 B) ) il était chez les PhoeniX il regarda le ciel et vit qu'il fesait nuit noire...

Inquiet pour son maître et se demandant comment il était arrivé ici , il partit chercher les autres...

Remise transformée en chambre au sous-sol
-Brouss ?
Sleep

*pas de réponse*

*prend la trompette géante et souffle comme un malade dedans *
-Ya quelquun ? Oo j'ais un gros problemeeeeeeeeeeeeeee...

Assistant Nombre de messages : 21 Date d'inscription : 04/11/2008

Elle suivit les traces pendant plusieurs heures mais les perdit aux abords du mont Krem. Il commença à faire jour, on pouvait sentir le doux parfum de la rosée sur les sapins.

Elle décida de faire une pause pour se reposer mais c’était sans compter sur la présence agaçante des guêpes. Elle eut beau les tuer les uns après les autres mais ils en venaient toujours d’autres. Voyant que sa n’en finissait pas, elle prit la poudre d’escampette.

Après avoir semé les guêpes, elle s’assit contre un rocher au pied d’un arbre dégarni pour se reposer quelques instants. Elle pensa à tout ses amis du clan Lotus en se demandant ou étaient ils, et dans un raisonnement rapide elle se dit qu’ils sont peut être chez nos amis les PhoeniX. Elle se releva et parti en direction du village des koarens.

Arrivé au village, elle se dirigea vers le cercle du temps pour parler a Titus Trip mais elle entendit la discutions de deux kovolts sur un évènement mystérieux se déroulant à Nosville. En atteignant Titus elle lui demanda de la téléporter à Nosville.

Une fois arrivé, elle constata que la place devant le marché était noir de monde, il y avaient des blessés étendus sur le sol et des mages qui tentaient de les soigner mais en vains. Elle se dépêcha de rejoindre la maison des PhoeniX. Arrivé sur le pas de la porte, elle poussa un grand soupir de soulagement juste avant d’entrer…

[Nosville]

En arrivant sur la place du village, l'escrimeur comprit que le mal avait déjà frapper...
Toutes les personnes habitants Nosville, s' activaient à soigner les nombreux blessés.
Onilink traversa la ville en se faufilant au milieu de toute cette foule.
Il passa sous l'arche des PhoeniX où un blason doré y était pendu comportant l'emblême de la famille.
Enfin chez moi! se dit Onilink.
Il arriva devant la porte d'entrée, et ouvrit la porte avec fracas pour que tous puissent l'entendre.
_Y a quelqu'un??? Houhouuu? C'est moiii. J'ai eu des ptits soucis sur la route mais sinon rien de grave.

[Dans une forêt, proche de Nosville- au lever du jour]

Aurion était abasourdi, tout c'est passé si vite. L'apparition d'Unix pour le sauver et la mort éclair de son assaillant, Aurion était tellement stupéfait qu'il en oublia sa blessure à l'épaule. Il était une nouvelle fois perdu dans ses pensées mais en ésséyant de se relever, la douleur de son épaule
le ramena à la réalité. Il se releva avec difficulté et regarda son épaule qui saignait encore, il arracha un morceau de tissu qui ornait son armure et s'en servit comme bandage pour stopper le saignement.
Conscient que Unix le regardait et qu'il attendait des réponses à ses question, Aurion se releva et récupéra son épée qu'il rangea dans son fourreau.

Il s'approcha alors du cadavre pour l'examiner, c'était un archer qui aurait pu venir de Nosville mais Aurion ne l'avais jamais vu, il en déduit donc que cet archer n'était pas d'ici. La forme de son équipement
était bizarre par rapport aux équipements des archers de Nosville. Aurion remarqua sur la nuque de son ennemis, d'étranges inscriptions marqué en une langue que Aurion ne connaissait pas. Il n'y avait rien d'autre de bizarre. Aurion se releva et regarda une dernière fois le cadavre, il s'aperçut alors que son ennemi était malade lui aussi, les cheveux
grisonnant, la fatigue qui marquait son visage... Est-ce que ces
écritures et cette envie de tuer pouvaient être une sorte d'évolution ? Des symptômes qui se manifesteraient que plus tard. Aurion regarda alors Unix, lui aussi avait l'air d'être toucher par cette maladie mais comparé aux autres, il avait l'air de bien résister.

Le mieux à faire pensa Aurion c'est de le ramener à Nosville ou même dans notre repaire, le repaire des PhoeniX.

Aurion pris donc sa décision mais si Unix avait réellement perdu la
mémoire, il ne va pas être facile de le convaincre de le suivre et il ne voulait pas utiliser la force. Il respira profondément et regarda Unix dans les yeux.

Je m'appelle Aurion et je connais ton nom car, comme moi, tu es un membre de la PhoeniX. Ce tatouage sur ton bras droit le prouve. Pour ce qui est de Miaouss, oui je la connais, elle nous a rejoins peu de temps après toi.

Aurion tourna le dos à Unix et fit quelques pas en direction de Nosville. Il
se retourna et souria à Unix:

Je sais où se trouve Nosville et je crois savoir où se trouve Miaouss. Si tu veux vraiment la retrouver et sortir de cette lugubre forêt,suis-moi...

Aurion s'éloigna alors de Unix espèrant que ce dernier allait
le suivre pour que, ensemble, ils puissent rejoindre le repaire des
PhoeniX...

Nombre de messages : 10 Date d'inscription : 03/11/2008

[Dans une forêt profonde, à l'aube]

Les premiers rayons du soleil se faufilent entre l'épais feuillage, et viennent surprendre Chimei, assoupi derrière son bureau. La jeune prisonnière est recroquevillée au sol, brisée par une force tout autre que le sort habituellement utilisé, mais tout aussi puissante. Chimei a longuement joué avec elle, sans répit, animé par un besoin irrépressible et difficile a assouvir. Ce n'est que peu avant l'aube qu'il s'est installé à son bureau : la jeune femme ne se débattait plus, enlevant tout le charme à ce délicieux jeu.

Chimei se lève, et passe sa longue cape noire sur ses épaules, puis récupère sa dague. Souplement, il s'approche de la jeune femme, et d'un geste précis, lui ouvre la poitrine, dévoilant l'objet de ses désirs, sans qu'un seul cri ne soit poussé par la prisonnière. Un sourire carnassier sur le visage, il lui arrache le coeur et entreprend de le déguster avec délectation. Son petit déjeuner terminé, il sort de son bureau, et ordonne au premier esclave qu'il rencontre de dégager le cadavre de son bureau. L'homme obéit sans hésitation, et se dirige vers son bureau.

A l'extrémité de sa forteresse, des esclaves jettent les corps torturés des inutiles dans une fosse spécialement creusée pour l'occasion. Chimei les observe un long moment, particulièrement satisfait de ce sort, et de cette décision. C'est alors que son fidèle adjudant arrive, et lui demande un entretien en privé. D'un geste de la tête, Chimei lui désigne son bureau, puis s'y dirige à pas vifs.

En quelques mots, Niumei lui raconte l'attaque, qui s'est passée sans encombres, puis lui annonce qu'ils ont rencontré une patrouille de soldats. Des soldats de Nosville, qu'ils ont dû massacrer pour qu'ils ne parlent pas de leur découverte.

- Numei, je ne veux plus qu'il y ait de gens qui s'échappent. Place des banyao autour des villages, qu'ils tirent à vue. Ils ne sont pas en état de parler, mais leur simple présence attise la curiosité de ces moins que rien. Et nous devons rester discrets.
- A vos ordres Chimei.
- Va te reposer maintenant.
- Merci Chimei.

Niumei s'incline respectueusement, puis quitte le bureau, laissant Chimei s'octroyer une sieste bien méritée.